Comment favoriser un sommeil réparateur pour votre enfant ?
Un bon sommeil est aussi important pour le développement de l’enfant que son alimentation
L’expression dormir comme un bébé est synonyme d’un excellent sommeil. Pourtant, les études montrent qu’environ 30% des enfants d’âge préscolaire souffrent de problèmes de sommeil. Après les problèmes O.R.L. (rhinites, angines, otites…), les problèmes de sommeil constituent un des principaux motifs de consultation en pédiatrie. Les besoins en sommeil diminuent progressivement de la naissance à l’adolescence :
- À la naissance : entre 16 h et 20 heures,
- De 6 mois à 1 an : en moyenne 15 heures,
- Vers 2 ans : entre 13 et 14 heures,
- Entre 3 et 5 ans : moyenne de 12 heures. C’est à cet âge qu’il perd le besoin de faire la sieste,
- Vers 10 ans : Moyenne de 10 heures
Certains enfants dorment plus ou moins, sans que cela soit « anormal ». Ces chiffres sont donc uniquement des indications moyennes. Un apport en Vitamines B bio et magnésium bio et 100% végétal chez l’enfant peut favoriser un sommeil réparateur.
Pourquoi le sommeil de nos enfants est-il plus souvent perturbé ?
Les troubles du sommeil peuvent avoir plusieurs causes :
1. Des problèmes de santé
Un encombrement des voies respiratoires peut gêner l’enfant ou l’angoisser. De mêmes, des troubles digestifs peuvent provoquer des spasmes douloureux. Dans les deux cas, il s’agit de troubles du sommeil passagers.
2. Modifications du mode de vie
Horaires décalés
Au cours de ces 50 dernières années, le rythme de vie des parents s’est considérablement modifié. La plupart des mamans travaillent, les temps de transport augmentent avec pour conséquences des repas du soir pris plus tardivement. Nous sommes très loin des traditionnels « midi 7 heures on mange » de nos grands-parents. Le coucher des enfants se fait à des heures de plus en plus tardives. Alors qu’un adulte fatigué a tendance à bailler et devient apathique, chez l’enfant la fatigue se traduit par une hyperactivité ou une irritabilité. Une fois cette excitation installée, difficile pour l’enfant de trouver un sommeil paisible.
Stress et anxiété
Les enfants sont de véritables « éponges » au niveau émotionnel. Le stress, l’anxiété, la dépression des parents, les difficultés familiales vont se traduire chez l’enfant par un sentiment d’insécurité et la peur de l’abandon. Au moment d’aller au lit, l’enfant va manifester ses craintes en refusant de rester seul dans sa chambre. Les difficultés scolaires, la crainte de ne pas être à la hauteur de l’attente de ses parents, se manifestent également dès le plus jeune âge.
Le calcium est un minéral précieux et essentiel au bon développement osseux de l’enfant. Il est également indispensable à l’équilibre nerveux. La vitamine D est excellente pour favoriser son assimilation. Notre complexe innovant Vitamine D3 est 100% végétal et adapté à toute la famille.
Les méthodes éducatives
Durant ces dernières décennies, les manifestations de l’autorité parentale ont été remises en cause. Ces principes d’éducation, plus permissifs, ont influencé toute une génération. Pourtant, une autorité apaisante donc sécurisante est indispensable à l’équilibre de l’enfant. Au moment du coucher, afin d’adoucir la séparation, il faut instaurer un climat de confiance, apaisant. Cela peut se faire grâce à une petite routine qui va rassurer l’enfant (lui lire une histoire). Il faut savoir qu’un enfant qui s’endort près de ses parents et est transféré dans son lit endormi sera totalement paniqué lorsqu’il va se réveiller seul dans son lit pendant la nuit.
3. Modifications de l’alimentation
Alimentation plus industrielle
Compte tenu des horaires tardifs du repas du soir, celui-ci consiste de plus en plus souvent en un plat surgelé réchauffé au micro-onde. Afin de ne pas finir la journée par un conflit, les parents cèdent souvent au désir de l’enfant et proposent au mieux jambon coquillettes, poissons panés, au pire hamburger frites. Entre la nourriture des collectivités et les plats cuisinés qui facilitent la vie des mamans, l’enfant consomme une quantité impressionnante d’additifs, de colorants et de produits chimiques. Ces colorants sont utilisés pour la confection de plats industriels mais également très abondants dans les sucreries, gâteaux et sodas dont raffolent les enfants. Les études montrent qu’ils ont un impact négatif sur le système nerveux de l’enfant.
Quelles sont les conséquences d’un mauvais sommeil ?
Les impacts d’un mauvais sommeil, insuffisant ou agité sont multiples :
- Problèmes de comportement : agitation, agressivité, extrême émotivité.
- Problèmes d’apprentissage, retard dans la maîtrise du langage.
- Problèmes de poids : il semblerait qu’une perturbation du sommeil ait chez l’enfant, comme chez l’adulte, une influence sur la gestion du sucre et sur certaines hormones qui règlent les phénomènes de satiété.
- Durant la nuit, les organes se régénèrent et, chez l’enfant, cette phase est essentielle pour un développement harmonieux, tant physique (croissance) que cérébral (apprentissage).
Que pouvons-nous faire ?
1. Respecter les rythmes de vie de l’enfant
Un enfant a besoin d’un équilibre entre veille et sommeil. Il est important de respecter les heures de coucher et de lever. Les repas doivent être pris, si possible, à heures fixes. Comme chez les adultes, le repas du soir ne doit pas être pris immédiatement avant le coucher et être trop riche car une digestion difficile perturbe le sommeil. Faire précéder le moment du coucher par un rituel apaisant et assurant afin que cela ne soit pas vécu comme une rupture brutale.
2. Veiller à l’équilibre de la flore intestinale
Une alimentation trop riche en sucre, pauvre en légumes et fruits, sources de fibres, perturbe l’équilibre de la flore intestinale. Les sucres augmentent les fermentations qui provoquent des gaz responsables de douleurs et de spasmes. Les additifs provoquent des irritations de la paroi intestinale et sont la cause d’intolérances alimentaires. Les études montrent que la suppression des aliments responsables de l’intolérance s’accompagne souvent d’un retour à des nuits de sommeil plus paisibles. Pour un retour à l’équilibre des flores digestives (essentiel à la bonne santé), nous avons développé un complexe de prébiotiques naturels 100% végétal : Flore.
3. Privilégier les produits naturels
Pauvreté des aliments en nutriments essentiels
D’après le Programme National Nutrition Santé (PNNS), il faut manger au moins 5 portions de fruits et légumes par jour. Malheureusement, la plupart des fruits et légumes proposés regorgent de pesticides et sont pauvres en nutriments (minéraux, vitamines, oligo-éléments…). Ces nutriments sont particulièrement essentiels à l’équilibre nerveux et au développement de l’enfant. Il est donc conseillé de privilégier les fruits et légumes de bonne qualité et biologiques.
Importance de l’apport en Oméga 3
Il est très fréquent que les friandises, goûters et gâteaux que l’on trouve dans grandes surfaces soient conçus avec des huiles saturées de mauvaise qualité. Les pizzas et plats préparés contiennent de grandes quantités de graisses saturées. Or, pour se développer et fonctionner convenablement, le cerveau humain a besoin d’un apport en acides gras oméga 3, oméga 6 et oméga 9. Les omégas 3 sont les éléments essentiels de la membrane des cellules du cerveau. La bonne qualité et la souplesse de cette membrane favorise le passage des nutriments nécessaires au fonctionnement du cerveau.
Les huiles de noix et de colza biologiques et extraction à froid sont un bon apport en oméga 3 de qualité. Nos capsules d’oméga 3 + favorisent un apport en acide gras essentiel spécifique essentiel pour le développement du cerveau.